mercredi 29 décembre 2010

À la recherche de ... 2011

Nous sommes le 29 décembre, l’année 2010 tire à sa fin. Habituellement, nous les québécois, nous prenons des résolutions pour la prochaine année et nous les tenons généralement jusqu’en février, mars. Ce que je vous suggère cette année c’est quelque chose de différent, je dois remercier ici ma chère cousine qui m’a initié à cette nouvelle tradition.


Ce que je vous propose c’est de prendre un temps d’arrêt et de faire la revue de votre année, ce qui c’est passé de bon et de moins bon. Pour ma part j’ai pris chacun des mois et j’ai repassé le film de ma vie, ce que ça m’a permis de voir, c’est qu’il y a eu de très belles choses que me sont arrivées, ça m’a permis de voir que j’avais avancé vers mon but, peut-être pas autant que je l’aurais voulu, par contre cette revue de l’année m’a permis de voir ce qui n’avait pas fonctionné.

Par la suite je vous propose de faire une petite planification pour l’année qui vient, ceux qui me connaissent savent très bien que la planification ce n’est vraiment pas mon fort, alors je ne vais pas vous inciter à faire une planification exhaustive de votre année mais plutôt avoir des buts, des projets et pour les plus importants, se doter d’un plan de match.

En plus si vous avez un conjoint et des enfants ça peut faire un activité de famille se donner des buts communs, mais n’oubliez surtout pas de vous en garder pour vous tout seul question de garder son identité et même je vous suggère pour la première année (ce que je vais faire) de l’expérimenter seul et avec moins de projet question de mettre en pratique l’exercice et aussi de laisser de la place à la spontanéité de la vie.

Ce que j’aimerais vous proposer, si vous en avez envie, c’est de partager avec moi quelques un de vos projets pour l’année, question de donner des idées à ceux et celles qui manqueraient d’inspiration.

mardi 30 novembre 2010

À la recherche de ... faire le bon choix

Quand la vie te met au défi et qu’il faut faire le bon choix ce n’est pas toujours évident. Dans une des formations que j’ai suivi, ils nous suggèrent de faire un choix écologique. C’est quoi ça un choix écologique, bien c’est un choix qui respecte nos valeurs et notre environnement (les gens qui nous entours; familles, amis, etc.).

Pour faire un bon choix la seule façon de faire c’est d’évaluer chaque situation de façon à énumérer les avantages et les inconvénients de chacun et surtout de ce demander ce que ça implique pour nous et pour les autres. Le plus important c’est d’avoir confiance en son jugement et surtout de faire confiance en la vie, car quelque soit le choix que nous fassions ce sera toujours le bon au moment où on a pris la décision.

Pour ceux qui me connaissent bien, je dis toujours, il n’y a rien pour rien dans la vie. Donc chaque décision prise est là pour une raison, que ce soit pour nous faire patienter en attendant une situation idéale ou pour une leçon de vie. Il n’en tient qu’à nous d’en tirer les bons enseignements que la vie nous réserve, à nous de voir le verre à moitié plein ou à moitié vide et de tirer profit de ce qui nous semble a priori une mauvaise décision et de la mettre dans notre bagage d’expérience et d’en faire un outil plutôt qu’un poids inutile dans notre vie.

Vivement le positif dans la vie ça voyage beaucoup mieux….

lundi 8 novembre 2010

À la recherche de ... la ligne du positif

Nous sommes lundi le 8 novembre 2010, il est 5 heures du matin, je n’arrive plus à dormir, je cherche encore une fois un sens à ma vie. Je viens de me faire du café, des toasts, regarder mes courriels et mon facebook. Les idées se bousculent dans ma tête comme à chaque fois dans ces moments là. Je dis toujours au gens qui m’entoure d’écrire, que ça fait du bien, cordonnier mal chaussé me direz-vous, mais là je vais prendre mon conseil et écrire ce qui me tracasse, peut-être y trouverai-je mes réponses.

Comme je vous disais je cherche un sens à ma vie, j’ai 45 ans encore une fois sur le chômage, à la recherche de « la » job parfaite qui me rendra heureuse (faut-il réellement se réaliser dans sont travail, plus ou moins mais il faut tout de même aimer ce que l’on fait). Bon, ici je vous parle seulement de la situation de surface, c’est pas mal plus creux que ça, j’ai juste le mot problème qui me vient à l’esprit mais je n’ai pas envie de l’utiliser, donc j’utiliserai le mot « situation » pour les besoin de la cause.

Alors voici la situation dans la quel je suis présentement, je n’arrive pas à me brancher sur la ligne du positif (petit concept appris dans un de mes cours de croissance personnelle qui consiste à garder ses pensées positives en toutes circonstances). Pour que vous puissiez visualiser comment je me sens, je vous décrirais la situation ainsi; je me sens comme un trapéziste, qui accroché par les genoux, la tête en bas, devait se lâcher dans le vide pour attraper le trapèze de l’autre côté.

Je sais pertinemment bien qu’il n’y a que moi qui peux prendre cette décision, mais c’est comme s’il y avait trop longtemps que je me balançais la tête en bas que je voyais pas les gens qui m’attendent sur la balustrade de l’autre côté, comme si j’avais oublié que je sais comment faire, j’entends des voix au loin mais je ne peux comprendre ce qu’elles me disent, j’aurais tellement besoin qu’un coéquipier me tende la main, je l’imagine de deux façons; soit le gars sur l’autre trapèze qui t’attrape quand tu te lance dans le vide ou celui qui te supporte en te criant qu’il y a un filet sous toi mais que de toute façon tu n’en as pas besoin parce que tu ne tomberas pas.

Partons du principe que mon coéquipier existe, qu’est ce que ça me prendrait d’autre pour arriver à faire le saut. Il me faudrait avoir confiance en mes capacités, croire que j’ai le talent pour le faire, oupsss c’est là que ça se gâte, croire en mes talents.

Je part donc à la recherche de mes talents, mais qu’est-ce qu’un talent, si je me fie sur le petit livre que je viens de me procurer (petit cahier d’exercice pour découvrir ses talents cachés) c’est quelque chose qui vous connecte au plaisir, quelque chose d’inné, qui est facile à faire (pour vous) que vous savez faire depuis votre tendre enfance… dans le petit livre ils ont cinq mots pour décrire le talent; faisabilité, facilité, reproduction, plaisir et reconnaissance.

Deux choses me viennent à l’esprit en écrivant ces mots, la première étant la valeur de mes talents et la deuxième la reconnaissance. Je me suis aperçu que quand je faisais la liste de mes talents, je recherchais principalement des talents monnayables, des talents sur les quels je pourrais compter pour faire vivre ma famille et à mon grand dame, je n’en trouve aucun.

Si je vous parle maintenant de la reconnaissance, je me questionne sur le fait que certaines personnes ont plus ou moins besoin de reconnaissance, si l’on prends pour acquis que la reconnaissance est l’un des besoins fondamental chez l’être humain, pourquoi certaines personnes en ont-elles besoins plus que d’autres, est-ce parce qu’il en ont manquée ou parce qu’il n’en ont pas pour eux même….

Je vous laisse sur cette réflexion, ne vous gênez surtout pas pour me faire vos commentaires et je peux vous dire que ça fait du bien d’écrire quand ça ne va pas, je vais déjà mieux….

Je vous embrasse fort qui que vous soyez

vendredi 27 août 2010

À la recherche de…. du temps

Comme vous le savez je viens de recommencer à travailler à temps plein après six mois d’arrêt dans lesquels je m’étais habituée à un rythme de vie que j’ai vraiment apprécié, par contre la réalité de la majorité des gens ici au Québec c’est ce que je vis présentement, soit une job 40h semaine, en plus de s’occupé de la maison, des enfants, des courses, du conjoint, de la famille, des amis et surtout de soi même…. Ouffff juste à l’écrire je suis fatiguée.

Comme c’est la rentrée scolaire, je sort ma calculatrice et fais ce petit calcul rapide. Il y a 24 heures dans une journée et 7 jours dans une semaine donc nous disposons de 168 heures dans la semaine pour faire ce que l’on a à faire. Je me suis aussi amusée à décortiquer ce 168 heure, donc si en moyenne nous dormons 8 heures par jour ce qui fait 56 heures dans la semaine et que nous travaillons 40 heures semaines (toujours en moyenne), il nous reste 72 heures pour faire le reste. Ah oui j’oubliai, il faut retrancher un autre 7 heures par semaine passé sur la route pour ce rendre au travail, donc il nous en reste 65, bon c’est quand même pas si mal, cependant il y a tant à faire…

Je me souviendrai toujours du moment ou ma mère était revenue de chez le médecin, elle y était aller parce qu’elle perdait ses cheveux et croyait avoir le cancer, (il y a au moins 30 ans de ça). Le médecin lui a simplement dit « Madame ce sont vos nerf, il faut juste prendre le temps de relaxer » et elle de rétorquer « Mais docteur je n’ai pas le temps pour ça » c’est sa réponse qui restera à jamais graver dans ma mémoire et que je ne met pas suffisamment en application, « Ma chère madame il faut prendre le temps d’avoir le temps ».

Je me pratique de plus en plus à prendre ce temps, ce n’est pas quelque chose de facile pour moi, il est donc temps pour moi de mettre encore une fois mes enseignements du printemps en application, donc voici ma nouvelle petite phrase pour les 30 prochains jours « Je prends de plus en plus le temps de faire les choses importantes pour moi et je sais les reconnaîtrent »
Je prends conscience d’une foule de choses en écrivant ces mots, mais pour ce soir je vais en rester là. Il me semble avoir tellement de chose à dire, je vais par contre devoir un bon « defrag » sur le disque dur de mon serveur mental.
Je vous reviens bientôt, en attendant, je vous laisse sur cette réflexion: Utilisez vous vos 65 heures (+/-) de façon adéquate, prenez vous le temps nécessaire pour les choses que vous faites….

dimanche 8 août 2010

À la recherche de ... se retrouver

Hier j’avais un souper avec des filles merveilleuses, nous avons bien mangé et surtout bien ri. Comme je suis toujours en réflexion quand je conduis et que j’avais eu un bon départ avec les sujets dont nous avons discuté (je ne vous parlerez pas de ce que nous avons jasé car ce qui se dit dans un souper de filles reste dans le souper de filles).

Donc pour revenir à mes réflexions, j’en suis venu à la conclusion de m’être enfin trouvée, par contre je dois avouer qu’il y a encore du travail à faire, en revanche j’ai déjà un bon bout de chemin de fait, quoi qu’il y aura toujours place à l’amélioration. L’important c’est de toujours avancer, ça veut pas dire de toujours se remettre en question mais bien de profiter des opportunités que la vie nous envoi et de profiter du moment présent.

lundi 2 août 2010

À la recherche de ... besoin ou envie ?

Il y a longtemps que je vous ai écris, il y a plusieurs jours même semaines que je veux vous écrire sur un sujet qui me tracassait, je n’arrivais pas à mettre les mots sur ce que je voulais dire.

J’avais envie de vous parler de tendresse et d’affection, en fait de ce genre de sentiment. Au début je pensais avoir besoin de tendresse, en même temps je trouvais le mot besoin un peu fort, j’ai donc fait quelques recherches, autant sur internet qu’à l’intérieur de moi-même.

J’ai trouvé sur internet la pyramide des besoins de Maslow*, que j’avais déjà vue dans une mes formations. Cette pyramide est constituée de cinq niveaux, qui sont respectivement, des besoins physiologiques, de sécurité, sociaux, d’estime et d’accomplissement personnel. Selon Maslow, nous devrions chercher à satisfaire nos besoins physiologiques avant ceux de sécurité et ainsi de suite…

Ce qui m’a amené à réaliser que mon besoin de tendresse, n’était pas vraiment un besoin mais plutôt une envie, je m’explique, j’ai besoin de manger et de boire, mais j’ai envie d’un bon steak et de vin rouge, j’ai besoin de me sentir en sécurité en portant des vêtements et des chaussures, mais j’ai envie de poster une jupe et des talons hauts, du même fait que j’ai besoins, d’amour et d’intimité, mais j’ai envie de tendresse et d’affection.

Donc en réalisant tout ça et c’est là que je suis allée à l’intérieur de moi pour découvrir que, je dois satisfaire mes besoins de base et que souvent je prenais mes envies pour des besoins. C’est pas mal plus vital de satisfaire un besoin qu’une envie.

Mon envie de tendresse et d’affection n’est pas disparue, mais je peux certainement dire que mes besoins sociaux sont amplement satisfaits, j’ai deux beaux enfants, deux sœurs, des neveux et nièces et par-dessus tout de merveilleux amis.

Je vous laisse sur cette réflexion; quand vous dites avoir BESOIN de quelque chose encore plus de quelqu’un, est-ce vraiment un besoin ou une envie…..

Bonne réflexion ;-)

*http://fr.wikipedia.org/wiki/Pyramide_des_besoins_de_Maslow

dimanche 27 juin 2010

A la recherche de... mon âme

Quel beau début d’après midi, je suis allé voir une de mes anges aujourd’hui. Je dis une de mes anges car je vous l’ai déjà mentionné, j’ai la chance d’en avoir quelques uns dans ma vie. Donc si je reviens à mon début d’après midi, ça m’a fais énormément de bien de la voir, c’est une personne tellement humaine, sensible et débordante d’une belle énergie cosmique, juste le fait d’être en sa présence m’énergise. Je sais qu’elle aussi a des anges dans sa vie, je ne lui souhaite que le meilleur. Merci Mel de faire partie de ma vie.

Maintenant j’ai envie de vous parler de l’âme, vous savez quand on dit que les yeux sont le miroir de l’âme. J’ai toujours eu de la difficulté à regarder les gens directement dans les yeux, beaucoup moins aujourd’hui, mais quand même, il y a certaine personne que j’ai du mal à vraiment regarder. Je savais que c’était parce que je ne voulais pas que les gens voient mon âme que je n’arrivais pas à vraiment les regarder en face. Par contre ce que je viens de découvrir c’est que je n’avais pas envie ou plutôt j’avais peur de voir mon âme dans les yeux des autres.

Mais qu’est ce que j’avais si peur de voir ou de montrer, de quoi est composé cet âme, de nos valeurs, nos convictions, nos croyances, mais ça ce n’est qu’en surface, j’ai lu quelque part sur internet que l’âme était la jonction entre le conscient et l’inconscient. Mais je crois que c’est encore plus que ça, comme je crois à la réincarnation je vous dirais que c’est notre véhicule, d’une vie à l’autre et que ces vie sont emmagasinées dans notre inconscient.

Ouff la je crois que je vais un peu trop loin, une chose est certain c’est que certaines âmes sont connectées par quelque chose de plus fort que tout et quand elles se trouvent rien ne peut les sépare et qu'il faut bien connaître sa propre âme pour pouvoir rencontrer celle qui nous convient, donc je pars à la recherche de la mienne.

vendredi 25 juin 2010

A la recherche de... la créativité

Hey devinez quoi, mon hamster n’a pas pris sa dose de ritalin alors il cour comme un fou encore une fois. J’ai tellement de chose à dire que ça se bouscule à la sortie. Ce que j’ai donc décidé de faire c’est d’aligner mon hamster sur les touches de mon clavier.


J’ai envie de vous parler de créativité. Je suis entourée de personnes très créatives, J’ai une amie qui fait du dessin de mode comme Simon Chang, une autre qui peint comme personne mais d’une beauté naïve désarmante, deux qui font de la photo de façon admirable. Une de mes cousines conçoit des livres éducatifs et deux de mes cousins sont respectivement pianiste et comédien. Je ne fais qu’en nommer quelques uns car la liste serait longue.

Je sais pertinemment bien que nous avons tous une certaine créativité en nous et qu’il ne suffit que de la développer. Ce que je me demande c’est comment l’on peut retrouver notre créativité enfouies sous des peurs, sous de la négativité, comment faire en sorte que nos enfants développent la leur. Je crois bien que comme bien des choses, il faut prêcher par l’exemple.

Si je fais la liste que ce que j’aimais faire quand j’étais plus jeune, j’aimais :

- Écrire
- Faire des décalques
- Dessiner le plan de ma chambre à l’échelle
- La musique
- Faire de la couture et du tricot
- Cuisiner
- Le volley-ball

J’ai même essayer la danse et le patin artistique, mais pour ces deux la je sais très bien ce qui c’est passé. La fameuse peur du ridicule (je vous reviendrai avec cette histoire une autre fois).

Je pars maintenant à la recherche de comment je pourrai exploiter cette créativité qui est cachée sous les décombres de ma vie.

dimanche 20 juin 2010

À la recherche de ... la vie "normale"

Mes fils sont partis avec leur père car aujourd’hui c’est la fête des pères, c’est aussi ma dernière journée avant de reprendre la vie « normale »

Je reviendrai sur le « normale » mais avant, je me permets une petite folie. Je suis au faubourg Boisbriand assise près de la fontaine, je viens de manger un super shish taouk de chez Kebab (pour emporter). Je me permets de profiter du moment présent, de profiter du soleil de la fontaine, du vent pour laisser courir mon imagination… Il y a de gros nuages, des blancs, des gris, derrière ceux-ci le ciel est bleu du plus pâle au plus foncé. Quand le soleil se pointe le nez, les goûtes d’eau de la fontaine ont un air de pluie de diamants. Quand le vent souffle, je me fais asperger d’une douce bruine rafraîchissante.

Mon imagination vagabonde, c’est comme si pour un instant je me retrouvais ailleurs, dans un autre pays, une autre ville, en vacances à découvrir le monde.

J’ai tellement de choses à dire que souvent je m’égare, je voudrais vous parler de mes croyances en des vies multiples, mais je vous reviendrai bientôt sur ce sujet.

Le vent me force à changer de place et en même temps de perspective, je ne me fais plus gentiment asperger mais carrément tremper ;-)

Alors si je reviens à mon sujet du début, le retour à la vie « normale », c’est quoi la vie dite « normale », c’est, pour la majorité des gens, avoir un travail 35-40 heures semaine, bien rémunéré. Est-ce vraiment normale… J’ai eu la chance de vivre la vie de travailleur autonome, vivre les avantages mais aussi les inconvénients soit le manque de liquidités.

Je vais avoir la chance de voir si le travail autonome me convient vraiment, voir sur quoi je veux mettre les efforts, comment je peux concilier travail et vie de famille, comment je peux m’épanouir et me développer dans tout ça.

Bon je ferme mon cahier pour profiter du moment présent, faire quelques courses et réécrire le tout sur internet pour votre bon plaisir.

Vivement les minis portables avec connexion wifi.

Vous aurez compris que ce message est en différé et que j’ai écris ces mots cette après midi. C’est pas facile de recréer le moment et surtout de ne pas changer les mots…

À la recherche de ... un peu d'histoire

Hier j’ai passé une partie de la journée chez ma grande sœur avec mes garçons et durant la conversation nous en sommes venu à parler de la dactylo, c’est alors que les points d’interrogations sont apparus dans les yeux de mes amours (à noter qu’ils ont 12 et 14 ans). C’est quoi ça ? Mon beau frère disparaît pendant quelques minutes et réapparaît avec une espèce de boîte en plastique, beige-jaune, je n’en revenais pas qu’ils avaient encore cette antiquité, et oui c’était une dactylo manuelle des années 70.

Quel bonheur de voir l’émerveillement de mes garçons envers ce qui m’avait toujours répugné et de les voir découvrir l’ancêtre de nos ordinateurs, c’était très drôle de les voir s’amuser avec ce qui, dans les années 70-80, était réservé aux femmes. Il était rare de voir des hommes utiliser ce genre de machine. C’était drôle de voir avec quelle facilité ils avaient été capables de taper quelques phrases….

Si je reviens sur le fait que cette machine me répugnait, et oui j’étais une de celle qui avait toujours détestée cette machine infernale, qui avait associée cette dernière à la secrétaire de l’époque qui était très stéréotypé (belle, mince, avec de longues jambes, bref une « poupoune »). Comme je n’avais pas le physique de l’emploi, j’avais banni cette discipline de mon champ d’apprentissage. Il faut dire qu’à l’époque être secrétaire c’était être une femme à tout faire, elle devait apporter le café à son patron, arroser ses plantes, faire la belle devant les clients, habituellement les patrons choisissaient eux-mêmes leur secrétaire et ne les choisissaient pas toujours pour leurs compétences professionnelles.

Heureusement aujourd’hui la place de la femme a pris une tout autre place, les secrétaires sont devenues des adjointes et sont des piliers dans toute bonne entreprise, certaines femmes sont même devenues des patrons. Heureusement les misogynes sont en voie de disparition et c’est parfait comme ça.

Je termine ce papier en vous disant qu’il ne faut pas dénigrer les technologies ou les emplois du moment, on ne sait jamais ce qu’ils peuvent devenir….

vendredi 11 juin 2010

À la recherche de ... l'homme de ma vie

Merci aux personnes qui m’ont encouragés quand j’étais « down », ce fut vraiment apprécié.


La vie est tellement belle quand on la remercie et quand on l’apprécie comme elle se doit. Bon c’est vrai, je n’ai pas d’amoureux par contre, j’ai deux beaux enfants, une famille et suffisamment d’amis pour me combler. Ce qui me comble le plus c’est que j’ai des passions qui font en sorte que je puisse me réaliser sans avoir d’homme dans ma vie.

Je ne veux pas dire qu’il n’y a pas de place dans ma vie pour un homme mais plutôt que j’attends l’homme de ma vie. J’attends de lui qu’il soit affectueux, attentionné, authentique, qu’il soit bien dans sa peau et avec de bonnes valeurs, qui soit sociable et aime les rencontres entre amis ou avec la famille et surtout, qu’il m’apprécie pour qui je suis.

Qui suis-je, ça c’est une excellente question; je suis une passionnée, j’aime la vie et comme l’homme que je recherche, je suis affectueuse et attentionnée et j’adore m’entourer de personne formidable. J’aime la musique et les partys mais j’aime aussi les discussion profonde, j’aimerais par-dessus tout apprivoiser les moments de silence à deux pour profiter du moment présent.

Je fais confiance à la vie et je sais qu’il est tout près cet homme que j’attends et avec ce billet, je lance le message à l’univers pour le guider vers moi.

Je vous remercie de me lire et j’espère qu’avec vos pensées, le message se rendra rapidement à destination.

A bientôt

jeudi 3 juin 2010

À la recherche de ... du futur

Comme tous le monde j‘aimerais pouvoir me projeter dans le temps pour voir quand le soleil reviendra dans ma vie. Ce serait bien de savoir combien de temps il nous reste à vivre une situation difficile. Mes expériences de vie ont faites en sorte que je sais très bien qu’il y a toujours une lumière au bout du tunnel, mais ce serait plaisant que l’univers puisse nous dire « Lâche pas ma grande, encore 2 – 3 jours, 2 – 3 semaines et tout entrera dans l’ordre ou prépare toi, t’en a au moins pour 5 – 6 mois, 1 ans alors prends ton mal en patience.


C’est la qu’entre en jeux la foi entre en ligne de compte, je ne parle pas ici de religion, mais de foi en une force suprême, de savoir qu’il y a toujours du soleil après la tempête, de savoir qu’il n’y a rien pour rien dans la vie, que chaque période difficile est la pour nous faire grandir, nous faire apprendre, nous faire cheminer, nous faire avancer.

C’est bon de le partager avec vous, de l’écrire noir sur blanc, de le concrétiser. Je ne sais pas trop où je vais, une chose est certaine c’est que je vais en avant, je suis de plus en plus près d’où je veux aller (même si je sais pas trop c’est où).

mercredi 2 juin 2010

A la recherche...de la beauté intérieur

Aujourd’hui j’ai encore envie de vous parler de la perception que les gens on de nous, ou plutôt la perception que l’on a des autres.

J’ai la chance depuis quelques mois de côtoyer des gens merveilleux, avec une profondeur d’âme et une générosité exceptionnelle. Pas que je n’avais pas rencontrer de personnes de la sorte avant mais depuis quelques mois les rencontres se multiplies à la vitesse de l’éclair autant du côté personnelle que professionnelle.

Pour en revenir à mon sujet, parmi ces personnes il y des femmes et des hommes vraiment belles et beaux physiquement (bien en fait, que JE trouve vraiment beaux et belles, car comme on sait tous, les goûts sont dans la nature) vous savez le genre de personnes qui ont tous pour être heureux et être bien dans leur peau. Je vous en décri un en particulier pour vous faire comprendre le genre de beauté. Donc voici; jeune, +/- 6’2’’, larges épaules, mâchoire carré, un magnifique regard noisette franc et sincère, pour finir, un sourire et une présence des plus charmants.

La première impression que j’ai eu en rencontrant cet homme, ça été simplement « Wow quel beauté inaccessible », mais plus je le côtoyais moins je le trouvais inaccessible (mais toujours aussi beau), il y a chez cet homme une vulnérabilité désarmante qui font en sorte qu’il n’est plus simplement beau physiquement, il a en plus une grandeur d’âme, il est conscient de ses limites et travail d’arrache-pied pour qu’elles deviennent des forces.

Ce que j’essai de transmettre comme message, c’est de ne pas se laissez berner par les apparences et par la beauté des gens, et que même si les gens semblent, à vos yeux, être au dessus de tous et qu’a première vu ils ont tous pour être heureux, ça ne veux vraiment pas dire qu’ils le sont, alors tendez leur votre main et qui sait peut-être qu’un peu de leur grande beauté physique détiendra sur votre beauté intérieur.

dimanche 23 mai 2010

À la recherche de ... la destinée

Cette nuit, vers 1h20, un drôle de bip m’a réveillé, je me demandais ce que c’était, je me suis alors lever, le salon était illuminé de gyrophare. L’inévitable venait d’arriver, un gigantesque accident, je ne voyais rien, que des camions de pompiers et des lumières, le pire était le bruit, le bruit des scies déchirant la carrosserie, c’était atroce de penser qu’une ou plusieurs personnes étaient coincés dans les débris.

Comme je suis curieuse, je n’avais qu’une envie, c’était de sortir et d’aller voir, mais je me suis retenue car de toute façon je n’aurait rien pu voir, je suis donc retourner me coucher. Quelques heures après un autre bruit me réveille (je ne souviens plus quoi), il y avait encore de la lumière et les gens s’affairait encore. Je ne sais pas combien de temps ils ont du travailler mais je n’aurais pas aimé être à leur place.

Ce matin quand je me suis levée (vers 8h30), plus rien qu’un ruban rouge pour couper en deux qui avait servi à sécuriser le périmètre. Mais surtout ce que l’on ne pouvait voir C’est qu’il y avait au moins une famille, sinon plus, qui était éprouvé par le deuil, par la tragédie. Ce billet sert surtout à leur témoigner toutes mes sympathies, je sais que ça n’atténuera pas leurs souffrances mais une bonne pensée ne peut pas faire de mal….

jeudi 6 mai 2010

A la recherche de... ce qui vous allume !

Aujourd’hui j’aimerais partager avec vous un de mes petit bonheur de ce matin.

Je me rendais à un petit déjeuner d’affaire, où j’ai l’habitude d’aller depuis quelques temps, à ce moment, la chanson « You don’t know » du chanteur Belge Milow jouais à la radio, c’est alors qu’un grand sentiment de joie et de bonheur c’est emparé de mon corps, plus de mon être tout entier. Mon petit hamster c’est encore une fois mis à courir…

Je me suis demandé quelles étaient les choses, les événements ou les personnes qui me procuraient ce sentiment. Que ce soit le bonheur du travail accompli, la rencontre d’une personne qui a un impact significatif sur notre vie personnelle ou professionnelle, un bon repas ou de la bonne musique.

Pour ma part, je viens de réaliser que la musique avait un très gros impact sur mes émotions, surtout les mélodies, de plus en plus je m’attarde à certaines paroles, mais c’est principalement la mélodie qui atteint le plus mes sentiments.

Tout ça me fait partir à la recherche de la musicothérapie, alors je vous reviens très bientôt avec plus de détails.

dimanche 25 avril 2010

A la recherche de... faites comme si

Dans plusieurs des livres que j’ai eu la chance de lire ces dix dernières années, une chose revenait souvent, c’était le fait de, quand nous avons un but à atteindre nous devrions faire comme si nous l’avions déjà atteint. Je parle ici de but, du genre, changer d’emploi, de carrière ou même arrêter de fumer ou perdre du poids.


Faire comme si, c’est au niveau des émotions, quels sentiments j’aurai quand mon but sera atteint, quel attitude j’aurai, quels sont les gestes que je devrai poser pour que ce but atteint perdure. En résumé pour atteindre un but, il faut d’abord y croire, croire en nos capacités, poser les bonnes actions, avoir la bonne attitude, donc la seule façon d’y arriver c’est de changer nos pensées, nos croyances, c’est le début de la réussite. Par contre ses choses la ne se font pas seul, trouvez vous un mentor, un coach, un ou une ami(e) pour vous épauler dans les moments difficiles ou c’est le découragement qui prends le dessus.

Je dois faire une petite parenthèse avant de continuer, j’avait débuté mon texte en voulant vous parler de projet mais en cours de route j’ai changé pour but car pour moi, et je viens de le réaliser il y a une grosse différence entre un but et un projet. Un projet c’est quelque chose qui te tiens à cœur mais qui a un moins grand impact sur le reste de notre vie, ce pourrait être prendre des vacances dans le sud ou en Europe, refaire la décoration de la salle de bain, suivre des cours de piano pour son plaisir personnel. Tandis que le but peut définitivement changer le cours de notre vie. Fin de la parenthèse.

J’aimerais vous remercier d’être la de me lire, vous êtes mes coachs sans le savoir, car vous me forcer à réfléchir, à mettre des mots sur ce que je ressent, sur ce que je vis, alors n’hésitez pas à me faire vos commentaires, ce sera un plaisir pour moi de vous lire à mon tour.

Bon dimanche à tous, profitez du beau temps et de la vie

dimanche 18 avril 2010

À la recherche de ... Savez-vous comment vous perçoivent les gens

Depuis quelques semaines, j’ai eu la chance de rencontrer plusieurs personnes intéressantes. Ce matin mon petit hamster s’est égaré sur la perception que les gens avait de moi et moi d’eux. Est-ce que l’on s’arrête à la première impression pour aborder les gens.  Il m’est souvent arrivé de me priver d’aborder ou d’approfondir avec certaines personnes en raison de la perception que j’avais d’eux.


Est-ce qu’il se peut que notre perception change en cours de conversation, je crois que oui, mais pour ça il faut ouvrir sont esprit.

Est-ce que l’on est vraiment ce que l’on projette, ne serait-il pas plaisant de savoir comment les gens nous perçoivent. Sommes nous plus comme les autres nous perçoivent que comme nous nous percevons nous même, sommes nous trop dure avec nous même….

jeudi 15 avril 2010

À la recherche de ...

Aujourd’hui je ne recherche rien de spécial, j’avais jute envie de partager une réflexion que j’ai eu cette après midi. Je me préparais pour une entrevue et le petit proverbe « l’habit ne fait pas le moine » m’est passé par la tête. Comme d’habitude mon petit hamster intérieur s’est mit à courir. Je sais très bien que l’habit ne fait pas le moine, mais par contre l’attitude le fait vraiment. Tu peux être habillée en guenille, si tu as une attitude de gagnant tu vas certainement réussi, par conséquent, même si tu porte un habit ou une super robe et que tu as une attitude de « looser » tu as pas mal moins de chance de réussir.

Mais parfois ça aide à avoir la bonne attitude de porter le bon vêtement, alors pourquoi pas, il n’y a rien de mal à faire un petit extra pour se sentir bien dans notre peau et ainsi avoir la bonne attitude.

Je vous laisse sur cette petite réflexion….

A bientôt

vendredi 9 avril 2010

A la recherche de … du pouvoir de la pensée

Bonjour à tous,


Il y a longtemps que je suis venu partager mes pensées avec vous, la vie va si vite, mais si l’on en profite aux maximum ça semble moins grave et de toute façon on a pas vraiment le choix car nous n’avons pas le contrôle sur le grand sablier de la vie.

J’aimerais vous parler ce matin, du pouvoir de nos pensées. Je sais que je vous en ai déjà parlé mais j’avais envie de le refaire.

J’ai envie de vous parler de mes expériences des dernière semaines, j’ai du mettre en pratique ce que je prône depuis longtemps. J’ai du parler en public à deux reprise dans des situations ou je n’étais vraiment pas aux meilleurs de moi-même, dont une fois ou j’ai du me vendre (chose qui n’est pas vraiment facile pour moi), je me suis retrouver à un déjeuner super intéressant, une déjeuner d’entrepreneur et de travailleur autonome. Comme je suis à la recherche d’un emploi, je me suis dis que je pouvais offrir des services et par un heureux hasard (ben oui un hasard…. Non il n’y a rien pour rien dans la vie) on m’offre de participer à ce déjeuner.

L’ancienne France aurait franchement di NON, je ne peux pas, je ne suis pas assez qualifié pour ça et tout le tralala. Donc j’y suis allé, mon cœur battait la chamade en écoutant les autres parler de leur entreprise. J’avais plus ou moins envie de parler de ce pourquoi je venais, soit proposer mes services de formation et de conception de fichiers avec les produits office, j’avais plutôt envie de parler de ma nouvelle passion, mes dégustation à domicile, j’avais dans ma tête que les gens n’aimaient pas ce genre d’entreprise, avaient des préjuger, dans le fond c’est moi qui en avait, car j’ai eu la « chance » de re-rencontrer quelques personnes, qui étaient au déjeuner, en soirée lors d’une conférence sur les passions, et curieusement ces personnes ont été intéressées par mes produits.

Ce que j’essai de démontrer dans ce papier c’est que par mes fausses croyances, j’allais manquer une bonne opportunité, mais qu’en même temps parce que j’ai cru en moi, je me suis offert le plus beau cadeau, je me suis permis de penser que c’était pour moi de changer mes pensées négatives en pensées positives. Ce n’est pas facile, mais c’est comme un effet d’entraînement, il suffit de faire un pas, de se lancer une seule fois et de voir le pouvoir de la pensée et que même dans l’adversité, il faut chercher le coté positif de la situation, c’est pas facile mais c’est faisable, il faut juste vaincre nos peurs et profiter des opportunités que la vie nous envoie.

Je vous laisse sur cette réflexion et je vous dis merci de me lire (le fais de l’écrire, de le concrétiser m’aide grandement à y croire.

A bientôt

dimanche 4 avril 2010

A la recherche de... du temps

Nous sommes dimanche matin, dimanche de Pâques. Pour ceux qui y croit je vous souhaites de joyeuses Pâques, pour les autres je vous souhaites bon congé. Je suis présentement assise sur mon balcon, avec un bon café, à vous écrire, il y a longtemps que je ne l’ai pas fait. Je pourrais vous dire que je n’ai pas eu le temps, mais ce serait mentir, on trouve toujours le temps pour faire les choses que l’on aime. Non tout simplement je vous dirai que je n’avais pas d’inspiration.


Ce matin j’aimerais pousser ma réflexion sur le temps, le temps qui passe. Reprendre les mots qu’une amie a écrit sur Facebook « Ou sont passés les mois janvier, février et mars, je ne les ai pas vue passer ». Ou de réaliser, comme hier, qu’il était trois heures du matin après un bon souper, une bonne bouteille de vin et un bon café et surtout une discussion entres amies.

Ce que je peux vous dire ce matin c’est que je profite de cette belle matinée et j’espère que vous en faites de même. Il faut savourer chaque moments de la vie car ces moments ne reviendront malheureusement pas, est-ce ça que l’on appelle vivre le moment présent. Je suis contente que vous preniez un moment pour me lire et faites comme moi, fermez les yeux trente secondes et profiter du moment, écoutez les bruits tout autour, sentez l’air sur votre peau, humez l’air ambiant, même si ça ne sent peut être pas vraiment bon, ce n’est pas grave, l’important c’est de prendre conscience de ce qui nous entours, on devrait le faire quelques fois par jour, pas longtemps, trente secondes, une minutes pas plus, profiter de ce moments de bonheur qui nous appartient. Faites le test ça en vaut la peine.

Je vous laisse la dessus et je vous souhaite un bon trente secondes.  Je vous embrasse.

A bientôt

vendredi 12 mars 2010

À la recherche de ... faire taire la mauvaise voix

Bonjour à vous,


J’avais envie de partager avec vous une autre tranche de ma vie. Depuis hier je suis conseillère pour une entreprise qui fait des dégustations à domicile, dont je tairai le non car je ne suis pas ici pour faire de la promo, du moins pas tout de suite ;-)

Donc si je reviens à ma journée d’hier. J’attendais avec impatience mon « kit de départ ». IL est rempli de plein de choses intéressantes, et alléchante. La compagnie m’a même téléphoné pour me souhaiter la bienvenue dans leur groupe, j’ai préparé un catalogue spécial pour mes amours, car oui il y a plein d’items sans gluten. Je suis super encouragée et motivée.

Ce matin, toujours aussi motivée, je prépare un autre catalogue pour la belle mère de mes gars. Je me dis que c’est la meilleure journée pour essayer mes nouveaux produits. Sauce Alfredo, ça ne devrait pas être si difficile que ça pour une cuisinière aguerrie comme moi et bien non, la recette parlait de le faire au micro-ondes, mais je n’aime pas trop ça cuisiner de la sorte, alors je me dis pourquoi ne pas essayer la nouvelle casserole de mon kit. Alors je me lance, pas trop compliqué comme recette, 2 tasses de lait et ¼ de tasse du mélange. Bien figurez vous que j’ai réussi à faire coller tous ça bien comme il faut.

C’est la que la petite voix en moi embarque. Je vous la fait entendre; « Tu vois bien que c’est de la marde ton affaire, ça marchera même pas, dans quoi tu t’es embarquée encore, t’as dépensée cet argent là… »

Matant_mann l’autre jour tu me demandais comment on faisait pour faire taire ces petites voix, bien j’ai crié plus fort en disant que c’est pas parce qu’une petite sauce à m. qui n’a pas fonctionné que c’est pas bon, qu’il faut essayer encore et encore. Demain je vais à une rencontre avec d’autres conseillères, j’ai la chance de ne pas être seule à faire ce que je fais. Je crois sincèrement qu’il faut s’entourer de personnes qui peuvent nous aider dans ce que l’on entreprend, ne serait-ce que moralement.

Merci de me lire (même si je ne sais pas trop combien vous êtes)

mercredi 10 mars 2010

En réponse à ...

En réponse à mes amies Caro et Matante_mann. J’aimerais dire merci à Caro pour les trois petites questions, soit :

1- Qu’est-ce que je connais de moi ?
2- Qu’est-ce qui me fait tripper, qui allume la petite lumière dans mes yeux ?
3- Qu’est-ce que je n’aime vraiment pas, qui m’éteint ?

Si je réponds à ces questions, je vous dirais que je suis une femme qui a appris à se connaître depuis les dix dernières années, qui a déterré les passions qui avaient été enfouis depuis tant d’années.

Ces passions sont bien sûr mes deux garçons qui sont toute ma vie. Il y a aussi les gens en général, les aider, partager mes connaissances, mon savoir, apprendre à les connaître d’avantages. J’ai découvert le fonctionnement de la pensée et ce qui se passe dans notre tête et ça me fascine. J’aime aussi la bouffe et les plaisirs de la vie (ceux qui me connaissent savent de quoi je parle).

Alors oui matante_mann, je vais aller jusqu’au bout d’un de mes rêves et ce grâce à toi, et oui je vais devenir Conseillère Épicure, je travail fort pour peut-être devenir travailleur autonome (mais ça c’est pas encore totalement décider). Et si je réponds à la question, comment on fait pour faire taire les petites voix négatives qui nous empêchent de bouger, bien dans mon cas c’est de faire crier plus fort une belle voix positive, de m’entourer de gens positifs qui m’aident à croire en moi et en mes rêves.

Merci de me lire et de m’aider à cheminer.

À la recherche de ... mes pensées

Bon matin

Je vous ai quelque peu négligés, c’était la semaine de relâche et j’ai décidé de passer du temps avec eux. Nous n’avons pas vraiment fait rien de spécial mais nous étions ensembles, à profiter de la vie, à profiter l’un des l’autres.

Ce matin j’aimerais vous parler d’un livre que mon amie Louise m’a fait découvrir. Ce livre est « Attitude d’un gagnant de Denis Waitley». Je ne sais pas pour vous mais moi je n’ai pas été élevée avec la vision d’une gagnante, combien de fois l’hors d’un tirage à l’école ou ailleurs avons-nous dit « de toute façon je ne gagne jamais rien »…

Ne vous en faites pas, je ne vous ferai pas un résumé du livre, je voulais simplement situer d’où venait ma ligne de pensée. Donc dans ce livre M. Waitley parle, entre autre, que nous sommes ce que nous pensons, que nos pensées profondes dirigent notre vie. Je m’explique; avez-vous déjà entendu cette phrase célèbre « quand on est né pour un petit pain ». Croyez vous sincèrement que Nicolas Bouchard (fondateur de la compagnie Du proprio), Guy Laliberté ou même encore Bill Gate, se disaient cette dite phrase. Non, bien sûr que non, ils avaient un rêve, une passion, un objectif, un plan et ils n’ont laissé personne leur dire que ça ne fonctionnerait pas. Ils ont mis l’effort, le temps, l’énergie en ce qu’ils croyaient, en ce qu’ils pensaient. Il est certain que nous ne pouvons pas tous être des Bill Gates ou des Guy Laliberté, mais allons nous vraiment au bout de nos rêves, de nos passions ou bien nous laissons nous décourager par les gens qui nous entourent ou même pire par nous même par nos peurs qui sont souvent non fondées.

J’ai envie de penser comme Bill Gates, non je pense comme Bill Gates, il est certain qu’il faut être réaliste dans nos rêves, nos passions. Je ne pourrais penser devenir chirurgien ou médecin en débutant à mon âge, mais je pourrais certainement devenir infirmière, je ne pourrais pas devenir pilote de ligne ou astronaute, mais pilote d’hydravion (si j’en avais l’intérêt). Je ne pourrais devenir enseignante au primaire, ni à l’université, mais je peux très bien devenir enseignante en formation professionnelle, je ne pourrais pas devenir conférencière internationale, mais je peux très bien devenir conférencière dans ma communauté. Mai pour ça il faut y croire, mettre les efforts nécessaires et faire taire nos peurs.

Je vous laisse sur cette réflexion. Pensez-vous comme Bill Gates, avez-vous des rêves, des passions qui dorment en vous, qu’est-ce qui vous empêche vraiment de les réaliser, on ne parle pas ici de finances ou de temps, car si l’on croit suffisamment à nos rêves, il est possible de trouver le temps et le financement pour les réaliser.

Bonne journée

dimanche 28 février 2010

À la recherche de ... d'accomplissement

Quel bel accomplissement que cette médaille d’or au hockey masculin ce soir.

Mais qu’est-ce que l’accomplissement dans la vie de tout les jours. C’est réussir son examen de maths, c’est perdre les 25lbs que l’on avait en trop, c’est mettre au monde un petit être après neuf mois d’attente.

En fait c’est mettre les efforts pour atteindre le but que l’on c’est fixé, certain ne demande que peu d’effort, d’autre beaucoup plus. Pour c’est derniers il faut de la persévérance, de la détermination, il faut, souvent pour ne pas dire toujours, bien entouré, être motivé.

Après l’accomplissement, deux situations se produisent dépendamment du but visé. Dans la première situation l’on doit continuer à performer ou à faire de sont mieux, comme dans le cas où un acteur décroche enfin un rôle ou des parents que mettent un enfant au monde. La deuxième situation, qui est repartir pour un autre but, comme dans le cas d’une réussite d’examen ou la participation à des jeux olympiques.

Dans tous les cas il y a un temps où l’adrénaline de l’effort s’atténue, même disparaît. C’est ce à ce moment qu’il faut avoir une force de caractère et être bien entouré pour survivre à cette situation.

J’espère sincèrement que tous les participants des jeux olympiques sauront passer à travers ce moment difficile.

J’en profites pour féliciter ma nièce et son mari qui ont mis au monde un magnifique petit garçon de 8lbs (leur troisième). J’ai hâte de vous voir.

mercredi 24 février 2010

A la recherche de …la force intérieur

Désolé pour le retard j'ai eu des problèmes avec le blog....

Bon matin,

Je ne peux pas, ce matin, ne pas vous parler de Joannie Rochette. Je n’ai vu sa prestation que ce matin. Avez-vous vu la douleur sur son visage. Que dire de cette douleur, c’est une douleur inexplicable. C’est une douleur où tout fait mal, ton cœur, ta peau, tes organes, ta tête et le pire, ton âme.

Ce qui m’amène à vous parler de la force intérieur. Nous en avons tous, à des niveaux différents, on vient au monde avec une force que l’on développe au fil des années. La famille, les amis, l’entourage sont pour beaucoup dans le développement de la force intérieur. Cette force est composé d’estime et de confiance en soi, de motivation, de persévérance, de support de nos proches. Il faut croire en cette force mais aussi je crois qu’il faut des moments pour refaire ses forces, recharger ses batteries avec des gens qu’on aime, car il ne faut jamais oublié que l’on est pas invincible.

Vous aurez compris que je suis à la recherche de cette force pour passe au travers de ce que je vis, ce n’est rien à comparer avec ce que Joannie vit. Il ne faut par contre pas se comparer dans ces moments, nous vivons chacun, les épreuves de la vie, à des niveaux différents.

Je vous laisse sur une petite réflexion. Est-ce que votre force intérieur est à son paroxysme, si non que pouvez vous faire pour l’améliorer.

Je te souhaite une excellente journée et que la force soit avec toi ;-)

mardi 23 février 2010

À la recherche de ... ma mission de vie

Bonjour à tous

Les idées ce bouscule dans ma tête encore une fois. Ce matin je suis allée, ce matin, à l’enregistrement de l’émission Les Dires de Geneviève Young. Cette émission met en lumière les talents, les projets de femmes de la région. Merci Geneviève d’être là et surtout d’être qui tu es.

Donc ce matin, je fus immergée dans un bain de talent, de créativité, d’énergie. Malgré tout ces belles choses, je ressors de la avec de gros questionnements, avec l’impression d’être bloquer (ce n’est pas pour rien que j’ai l’épaule gauche bloqué et douloureuse). Je tourne en rond, la vie me met à l’épreuve. J’ai un chasseur de tête qui vient de m’offrir un poste comme conseiller senior SAP à Montréal. Encore une fois j’ai l’impression que l’on tente de me faire dériver de mon but. Mais si je savais ce qu’est mon but, ça m’aiderait grandement à garder le cap. Tout ce que je sais c’est que je veux aider les gens, travailler avec les gens. Il est certain que je dois survivre financièrement et que je dois m’occuper de mes amours, mais j’ai envie de me réaliser pour une fois dans ma vie, j’ai tellement l’impression d’être sur le point de toucher, de découvrir ce pourquoi je suis sur cette terre.

Je vous laisse sur cette pensée pour aller faire le vide dans ma tête et tenter d’organiser tout ça. Merci d’être là.

lundi 22 février 2010

À la recherche de ...

Bon matin,

Dans mon texte de ce matin, j’ai une pensée particulière pour la patineuse Joannie Rochette. J’aimerais soulignée la force de caractère de la patineuse mais en même temps mes croyances en la vie me dit qu’elle ne peut faire autrement. J’ai entendu qu’elle était très proche de sa mère, alors que suis convaincue que sa mère l’aidera à faire de super chose sur la glace.

Ce qui m’amène ce matin, à vous parler de la mort. Je sais très bien que pour plusieurs ce sujet un peu tabou. On ne veut pas en parler, on en a même peur, pour avoir perdu des êtres chers, je peu vous dire que ce n’est vraiment pas facile. Ce qui est le plus difficile c’est souvent parce que l’on ne comprend pas, qu’y a-t-il après, que ce passe-t-il, sommes nous conscients.

Je partage avec vous mes croyances. Moi je crois en la réincarnation, que nous sommes ici sur terre pour devenir meilleur, qu’il y a une vie après la mort. Je n’ai pas peur de mourir, ce que j’ai peur c’est de souffrir, c’est d’être dépendante des autres, de faire souffrir les gens que j’aime, car je serais malade longtemps. J’ai la croyance que j’ai une mission ici et que quand elle sera remplie je tirerai ma révérence. Rassurez vous je suis ici encore pour un bon moment, je viens tout juste de débuter ma mission alors…

Petit blog ésotérique ce matin, je vous laisse sur ces réflexions. Avez-vous peur de la mort, l’avez-vous déjà vécu, comment réagirez vous face à celle-ci.

Je vous embrasse et vous souhaite une longue et belle vie.

dimanche 21 février 2010

À la recherche de ... motivation

Nous sommes le 21 février, ma dernière publication remonte au 17, donc il y a 4 jours, ma bulle commence déjà à se dégonfler. Et oui, je me dévoile aujourd’hui à vous, voici une de mes limites, pour ne pas dire une faiblesse. Je m’emballe pour plein de choses, mais je me démotive aussi très rapidement, en fait un petit rien me démotive. Que ce soit un obstacle, si petit soit-il, on par manque de temps, je délaisse ce pourquoi je me suis emballée. D’où vient cette limite, comment faire pour s’en débarrasser ou du moins l’amenuiser.

Après examen des endroits ou je manquais de motivation, je me suis aperçu que si c’était moi la bénéficiaire de ces efforts, de cette motivation, il est bien plus facile ou même très probable que je perde cette dernière.

Comment apprendre à 44 ans, à persévérer, à garder ma motivation quand j’entreprends quelque chose. Je crois qu’en gardant ces affirmation en tête je devrais y arriver.

1- J’en vaux la peine
2- Je suis capable
3- Je suis fière de moi

Oh je crois que je viens de toucher un point sensible; la fierté. Quand j’étais jeune, il ne m’étais pas possible d’être fière de moi (c’était prétentieux qu’on me disait). Il est encore difficile pour moi d’être fière de moi, même quand je fais des bons coups, de belles choses. J’ai même tendance à dénigrer mon succès, à dire que ce n’est rien que n’importe qui aurait pu le faire.
Je vais aller méditer sur ces constations et je vous reviens avec des solutions et/ou un sujet plus motivant.

mercredi 17 février 2010

A la recherche de ... l'équilibre

Aujourd’hui ma réflexion porte sur l’équilibre. L’équilibre dans ses croyances, l’équilibre dans la façon d’élever ses enfants, dans la conciliation travail/famille, dans la répartition des tâches ménagères ou tout simplement dans l’équilibre émotionnel.

J’ai de la difficulté à écrire aujourd’hui, je m’y suis repris par 2 fois et encore là, j’ai l’esprit ailleurs, mon équilibre émotionnel est ébranlé, je tangue entre la maman qui veut comprendre son enfant et lui donner un maximum de liberté de penser et d’agir et la maman qui veut le mieux pour son garçon de treize ans. Je tangue entre la petite fille qui a été trop laissée à elle-même, qui ne sais trop jusqu’ou est la limite de l’acceptable.

Aujourd’hui mon équilibre maternel est ébranlé, comment faire pour le restabiliser. Après mûre réflexion, l’équilibre c’est une question de confiance, confiance en ses capacités. Je vous donne un exemple pour expliquer mon raisonnement. Pour qu’un équilibriste du crique du soleil réussisse son numéro il doit avoir confiance en ses capacités, confiance que cela fonctionne, mettez un once de doute dans son esprit et tout s’écroule. De la même manière qu’une personne qui a de la difficulté à équilibrer son temps entre le travail et la famille a un manque de confiance soit d’ans l’un ou dans l’autre (doit se prouver au travail ou manque de confiance en ses capacités).

Alors si un jour vous éprouvez un déséquilibre, regarder votre taux de confiance en la situation et vous m’en reparlerez.

Se ce je vous souhaite une excellente journée et je vous dis à très bientôt.

mardi 16 février 2010

Bon matin,

Ce matin j’aimerais vous parler de la persévérance, ce sera difficile pour moi d’en parler car ce n’est pas inné en moi, mais voici par contre le fruit de mes recherches sur le sujet.

Je suis allée sur google et j’ai tapé « persévérance », il y a eu plus 10 00 000 résultat pour ce terme. J’en ai regardé quelques un et tous ou presque s’entendent pour dire qu’avec de la persévérance tout est possible.

Alain Lapointe (ancien coach du Vert et Or de Sherbrooke) a écrit dans journal de Sherbrooke1 « Mais, pour avoir de la persévérance, il faut de la motivation et de la volonté. En d'autres mots, avoir la capacité de s'accrocher mordicus à quelque chose que l'on veut ardemment. »

Mais tous disent aussi que ce n’est pas inné et qu’il est possible de l’acquérir. Oufff je suis un peu soulagée, je pourrai avec un peu d’effort apprendre à persévérer.

Comme le dit si bien M. Lapointe, ça prend de la motivation et de la volonté, mais je crois aussi que ça prend du support et de l’encouragement. Alors encourager vos enfants, votre conjoint, vos amis, même si ça vous semble un peu fou, ce sont leurs rêves à eux et qui sait ils pourraient réussir grâce à vous.

Je persévérerai à venir écrire régulièrement, pour moi, pour vous afin de cheminer tout au long de ma vie.

Bonne journée

1-http://lejournaldesherbrooke.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=114584&id=1375

lundi 15 février 2010

À la recherche de ... la réussite

Bon Matin,

Je vous ai délaissé ce week-end, c’était mon week-end avec mes amours, mais me revoici.

Hier j’ai écouté un film, la reprise d’un film de mon adolescence, je ne sais pas si vous vous souvenez de FAME, il y a eu un film à l’époque et aussi une série téléviser (1982- 1987). J’étais folle de cette série, je l’écoutais religieusement et la majeur partie du temps je pleurais, car ils venaient chercher un petit quelque chose en moi, ils avaient ce que je n’avait pas. Un rêve, un passion, le goût de se dépasser, la persévérance, la reconnaissance, la gloire, pas la gloire d’être célèbre mais la gloire d’avoir passé au travers.

Dans le film de cette année, je n’ai pas trouvé cette même passion, peut-être à cause de mon âge, peut-être parce que mes attentes étaient trop grandes mais somme toute, il y a quand même une scène qui m’a accroché et c’est pourquoi je vous en parle ce matin.

Qu’est-ce que la réussite ?

Ici tenterai de citer le film le mieux possible.

« Avoir réussi c’est de sortir de son lit le matin et être heureux, si heureux que l’on pourrait s’envoler. Ce n’est pas être célèbre, puissant ou riche. C’est travaillé avec des gens que l’on aime. C’est être en contact avec les autres. C’est communiquer sa passion. C’est se coucher le soir en se disant que l’on a fait du mieux que l’on a pu »

« Réussir c’est connaître la joie, la liberté, l’amitié. Réussir c’est AIMER »

Alors avez-vous réussi ? Moi je vous dirais que J’AI réussi et j’en suis fière. Il ne faut a présent que conserver cet état d’âme, d’esprit, de pensée pour rester heureux et être fière de nous de ce que l’on a accompli jusqu’ici.

Je vous laisse sur cette réflexion et je vous souhaite un bon début de semaine.

vendredi 12 février 2010

A la recherche de ...

Bon matin,

Ce matin je dérive un tout petit peu de ma direction initiale. Ce matin je suis à la recherche de … la sérénité d’accepter les choses que je ne peux changer, du courage de changer les choses que je peux et de la sagesse d’en connaître la différence. Vous aurez reconnu ici la petite prière de la sérénité, vous pourrez aussi sentir dans mes mots que je suis présentement dans un creux de vague. C’est difficile aujourd’hui, j’ai beau me répéter la petite phrase de mon adorable Maître Reiki « L’argent coule à jamais librement dans ma vie, il y a toujours un surplus divin » mais j’ai quand même peur, peur de ne pas arriver financièrement. Je sais bien qu’il n’y a rien pour rien dans la vie et que j’ai à apprendre de tout ça, il faut que je croie que la vie ne me mettrait pas une épreuve que je ne pourrais surmonter. Bon assez le braillage (mais ça a fait du bien) tu te remonte les manches et tu te fais un budget, puis tu essai fort de le tenir c’est la seule façon que tu vas t’en sortir ma grande. Merci de m’avoir lu ça a fait pas mal de bien de sortir le méchant.

Bon si je reviens à la recherche de … moi-même. J’ai commencé mon bilan de vie et je me suis aperçu que le bug de l’an 2000 a aussi eu un impact sur mon computer à moi, comme si un déclic c’était fait, car si je regarde ma vie, c’est à ce moment la que j’ai commencé à vivre vraiment. Avant, oui j’étais en vie et j’ai accompli de belles choses. Les plus belles sont les amours de ma vie, mes deux adorables garçons qui sans eux je ne serai probablement plus ici pour vous écrire.

Depuis l’an 2000 on dirait que je me suis réveillée d’un long sommeil, comme si à presque 35 ans je naissais enfin. Quelques années après je disais à tous le monde que j’étais dans ma crise d’ado et là j’ai l’impression d’entrer dans ma phase adulte…. Il était temps.

Bon je vous laisse sur cette petite réflexion, à quel âge avez-vous vraiment commencer à vivre ?

jeudi 11 février 2010

À la recherche de ... soi même

Bon matin,

Merci mon cher ami The Citizen pour ton commentaire. Je me permettrai de faire du pouce sur celui-ci. Il est vrai que nous ne cherchons pas une copie conforme de nous même, ce que je crois que nous cherchions c’est un miroir dans lequel se regarder, un peu comme celui de la belle au bois dormant, un miroir qui refléterait notre vraie identité.

Ce qui fait un très beau lien avec le sujet dont je voulais aborder ce matin. A la recherche de … soi même. Les idées se bousculent tellement dans ma tête quand j’aborde ce sujet, que je ne sais pas par ou commencer, sous quel angle l’aborder. Sait-on vraiment qui l’on est ? Je crois sincèrement qu’il faut s’arrêter un moment, pour faire le bilan de qui l’on est à certain moment de notre vie.

S’arrêter pour voir où l’on est rendu pour voir si la personne que l’on est nous convient, si l’on est fière de ce que l’on a accompli jusqu’ici. Prendre ce moment d’arrêt pour voir ou l’on aimerait aller, qui l’on voudrait être dans les prochaines années et les actions qu’il faut poser pour s’y rendre.

Bon là j’ai une petite voix dans la tête qui me dis, « Ben oui c’est ben beau tout ça, des belles paroles, c’est facile à écrire mais pas à faire ». A cette petite voix je dirai, c’est certain que ce n’est pas facile mais c’est nécessaire. Alors je vous donne un truc (que j’ai essayé sans vraiment y mettre les efforts il y a quelques temps mais que je m’engage à faire), qui m’a été transmis par une de mes cousine qui est aussi une très bonne amie. Ce truc est de faire la rétrospective de l’année qui vient de passer, en ressortant les bons comme les mauvais moments. Le meilleur temps pour le faire est dans le temps des fêtes, alors à vos agendas cette année on s’offre un cadeau et on se planifie une journée rétrospective un peu comme notre Bye Bye à nous.

Je vous propose aussi de le faire pour votre vie en générale, faire le point, où j’en suis, par où j’ai passé, où je veux aller…

Je vous laisse là dessus et je vous reviens bientôt avec une nouvelle piste de recherche.

mercredi 10 février 2010

A la recherche de ... Mr. or Ms Right

Bon matin,

Le sujet de ce matin c’est à la recherche de Mr or Ms Right. Il y a bientôt 10ans, j’ai décidé de laisser le père de mes enfants et depuis je n’ai eu personne dans ma vie. Je m’explique, je n’ai eu personne pour partager mon quotidien, j’ai bien entendu rencontré des gars, que ce soit des amis pratiques (ou santés pour ceux qui le préfère), des aventures, de longues rencontres au Tim Horton sans lendemain et même une relation qui a durée 2 mois.

Evidemment ce matin ma réflexion portera sur l’analyse de ces 10 dernières années. Quand l’on se dit à la recherche de l’âme sœur ça veut dire quoi ? Pourquoi après 10ans je n’ai pas encore trouvé LA personne qui me convienne. Peut-être que c’est parce que je ne cherche pas à la bonne place. Mais qu’est-ce qu’un âme sœur ?

C’est une personne, avec qui l’on est bien, avec qui on a envie de faire des plans à court, moyen et long termes, qui nous fait se sentir bien, qui nous rends meilleur, avec qui l’on peut développer une belle complicité et j’en passe, en fait une personne qui nous ressembles en plusieurs points. Oupsss la je crois avoir touché un point sensible. Qui sommes nous, est ce que nous ne serions pas plus avancés si nous étions à la recherche de nous même, mais c’est difficile de se regarder à l’intérieur alors on cherche un miroir, souvent l’on se ment à nous même, la vie se charge alors de nous montrer ce que notre inconscient nous dis que l’on est ou ce que l’on crois que l’on vaut.

Une bonne amie à moi m’a dit un jour c’est en travaillant sur soi même que l’on peut trouver la personne qui nous convient vraiment, alors voici les points sur lesquels je veux travailler dans les prochains jour.

1- Qui suis-je ?
2- Quels sont mes passions, mes hobbies, mes intérêts ?
3- Quels sont mes plans à court, moyen et longs termes ?

Je termine mon blog ce matin en vous disant merci de me lire, merci de faire partie de ma vie. Merci à mes amis qui me prouve qu’il y a une chose dont je ne suis pas à la recherche de c’est bien d’avoir des amis, j’ai la chance d’être entouré de personnes merveilleuses et je suis certaine je ne n’ai pas fini d’en rencontrer.

En passant merci les filles pour la soirée d’hier, c’est toujours un énorme plaisir d’être en votre compagnie.

mardi 9 février 2010

Pourquoi à la recherche de ...

Je suis depuis des années pour ne pas dire depuis toujours, à la recherche de quelque chose, que ce soit un emploi, un chum, une passion ou tout simplement le bonheur. Je suis même à la recherche de la façon idéal de faire des recherches, oufffff c'est épuisant tout ça. J'ai par contre l'impression que si je partage mes recherches avec vous ce sera un peu moins lourd et qui sait, je pourrai peut-être vous aider dans VOS recherches.

Si je prends pour débuter, la recherche d'emploi. Pour certain c'est facile et amusant pour d'autres c'est carrément un cauchemar. Il y en a même qui ne l'on fait qu'une seule fois et qui sont restés 25, 30, 40 ans au même endroit.

Pour ceux qui comme moi êtes à la recherche, voici mes actions et réflexions

1- Avoir un CV à jour
2- Bien connaître ses forces et ses limites
3- Savoir à peu près ce que l’on recherche comme travail
4- Avoir confiance en soi
5- Faire confiance à la vie
6- Faire des actions à tous les jours, même si elles sont petites
7- Profiter du temps d’arrêt pour faire autres choses, par exemple les choses que l’on a jamais le temps de faire quand on travail
8- Et surtout ne pas culpabiliser, si l’on pose des action à tous les jours on a rien à se reprocher.

Bon je crois que pour cette fois ci ce sera suffisant, je vous reviens très bientôt, avec de nouvelles réflexions.

Au plaisir ;-)

Mes premiers pas dans le monde du Blog

Il y a un mois aujourd'hui, c'était mon premier jour sans emploi. J'ai fais des recherches pour trouver un nouvel emploi et je n'ai pas encore trouver, alors j'ai décidé d'utiliser le temps que j'avais à ma disposition pour partager avec vous mes réflexions sur le thème de "À la recherche de ..."

Mais avant tout, laisser moi vous expliquer comment et pourquoi j'ai décidé de créer mon propre blog.

Aujourd'hui mardi 9 février 2010, j'ai terminé d'écouter le CD de Carolyn Murphy (une maman du football) qui elle aussi a un blog www.cequilsontdit.blogspot.com. Ce CD à réveiller le petit hamster dans ma tête qui c'est mis (encore une fois) à courir à toute vitesse dans ma tête.

Cette après midi, je suis sortie prendre une marche, toujours avec mon petit hamster qui roule à 120km/hrs dans la tête. Je me devais de profiter de la belle température et aussi donner de l'air à mon hamster, c'est alors que l'idée du blog m'est venue. Je dois aussi donner le crédit à mon ami the citizen, qui à chaque fois que je lisais son blog me donnait le goût d'en faire de même. Alors merci à vous deux pour m'avoir inspirer.