mercredi 10 mars 2010

À la recherche de ... mes pensées

Bon matin

Je vous ai quelque peu négligés, c’était la semaine de relâche et j’ai décidé de passer du temps avec eux. Nous n’avons pas vraiment fait rien de spécial mais nous étions ensembles, à profiter de la vie, à profiter l’un des l’autres.

Ce matin j’aimerais vous parler d’un livre que mon amie Louise m’a fait découvrir. Ce livre est « Attitude d’un gagnant de Denis Waitley». Je ne sais pas pour vous mais moi je n’ai pas été élevée avec la vision d’une gagnante, combien de fois l’hors d’un tirage à l’école ou ailleurs avons-nous dit « de toute façon je ne gagne jamais rien »…

Ne vous en faites pas, je ne vous ferai pas un résumé du livre, je voulais simplement situer d’où venait ma ligne de pensée. Donc dans ce livre M. Waitley parle, entre autre, que nous sommes ce que nous pensons, que nos pensées profondes dirigent notre vie. Je m’explique; avez-vous déjà entendu cette phrase célèbre « quand on est né pour un petit pain ». Croyez vous sincèrement que Nicolas Bouchard (fondateur de la compagnie Du proprio), Guy Laliberté ou même encore Bill Gate, se disaient cette dite phrase. Non, bien sûr que non, ils avaient un rêve, une passion, un objectif, un plan et ils n’ont laissé personne leur dire que ça ne fonctionnerait pas. Ils ont mis l’effort, le temps, l’énergie en ce qu’ils croyaient, en ce qu’ils pensaient. Il est certain que nous ne pouvons pas tous être des Bill Gates ou des Guy Laliberté, mais allons nous vraiment au bout de nos rêves, de nos passions ou bien nous laissons nous décourager par les gens qui nous entourent ou même pire par nous même par nos peurs qui sont souvent non fondées.

J’ai envie de penser comme Bill Gates, non je pense comme Bill Gates, il est certain qu’il faut être réaliste dans nos rêves, nos passions. Je ne pourrais penser devenir chirurgien ou médecin en débutant à mon âge, mais je pourrais certainement devenir infirmière, je ne pourrais pas devenir pilote de ligne ou astronaute, mais pilote d’hydravion (si j’en avais l’intérêt). Je ne pourrais devenir enseignante au primaire, ni à l’université, mais je peux très bien devenir enseignante en formation professionnelle, je ne pourrais pas devenir conférencière internationale, mais je peux très bien devenir conférencière dans ma communauté. Mai pour ça il faut y croire, mettre les efforts nécessaires et faire taire nos peurs.

Je vous laisse sur cette réflexion. Pensez-vous comme Bill Gates, avez-vous des rêves, des passions qui dorment en vous, qu’est-ce qui vous empêche vraiment de les réaliser, on ne parle pas ici de finances ou de temps, car si l’on croit suffisamment à nos rêves, il est possible de trouver le temps et le financement pour les réaliser.

Bonne journée

1 commentaire:

  1. Et toi France, iras-tu jusqu'au bout de ton rêve? Quel est-il, as-tu eu le temps de l'identifier, ou si, comme beaucoup de femmes de notre âge (et comme moi), tu te cherches encore? Pas facile de croire en nous quand on s'est fait rabattre les oreilles avec les commentaires que tu mentionnes dans ton texte. Pas facile de changer notre façon de voir les choses et de faire taire ces petites voix nasillardes qui nous répètent la même rengaine depuis si longtemps! Comment doit-on s'y prendre pour ne plus les entendre, encore mieux, pour ne plus les écouter?
    Je te souhaite (en fait, je NOUS souhaite, à toutes) de te retrouver, de croire en toi et d'avoir le courage de foncer vers l'avenir qui t'appartient.

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