dimanche 27 juin 2010

A la recherche de... mon âme

Quel beau début d’après midi, je suis allé voir une de mes anges aujourd’hui. Je dis une de mes anges car je vous l’ai déjà mentionné, j’ai la chance d’en avoir quelques uns dans ma vie. Donc si je reviens à mon début d’après midi, ça m’a fais énormément de bien de la voir, c’est une personne tellement humaine, sensible et débordante d’une belle énergie cosmique, juste le fait d’être en sa présence m’énergise. Je sais qu’elle aussi a des anges dans sa vie, je ne lui souhaite que le meilleur. Merci Mel de faire partie de ma vie.

Maintenant j’ai envie de vous parler de l’âme, vous savez quand on dit que les yeux sont le miroir de l’âme. J’ai toujours eu de la difficulté à regarder les gens directement dans les yeux, beaucoup moins aujourd’hui, mais quand même, il y a certaine personne que j’ai du mal à vraiment regarder. Je savais que c’était parce que je ne voulais pas que les gens voient mon âme que je n’arrivais pas à vraiment les regarder en face. Par contre ce que je viens de découvrir c’est que je n’avais pas envie ou plutôt j’avais peur de voir mon âme dans les yeux des autres.

Mais qu’est ce que j’avais si peur de voir ou de montrer, de quoi est composé cet âme, de nos valeurs, nos convictions, nos croyances, mais ça ce n’est qu’en surface, j’ai lu quelque part sur internet que l’âme était la jonction entre le conscient et l’inconscient. Mais je crois que c’est encore plus que ça, comme je crois à la réincarnation je vous dirais que c’est notre véhicule, d’une vie à l’autre et que ces vie sont emmagasinées dans notre inconscient.

Ouff la je crois que je vais un peu trop loin, une chose est certain c’est que certaines âmes sont connectées par quelque chose de plus fort que tout et quand elles se trouvent rien ne peut les sépare et qu'il faut bien connaître sa propre âme pour pouvoir rencontrer celle qui nous convient, donc je pars à la recherche de la mienne.

vendredi 25 juin 2010

A la recherche de... la créativité

Hey devinez quoi, mon hamster n’a pas pris sa dose de ritalin alors il cour comme un fou encore une fois. J’ai tellement de chose à dire que ça se bouscule à la sortie. Ce que j’ai donc décidé de faire c’est d’aligner mon hamster sur les touches de mon clavier.


J’ai envie de vous parler de créativité. Je suis entourée de personnes très créatives, J’ai une amie qui fait du dessin de mode comme Simon Chang, une autre qui peint comme personne mais d’une beauté naïve désarmante, deux qui font de la photo de façon admirable. Une de mes cousines conçoit des livres éducatifs et deux de mes cousins sont respectivement pianiste et comédien. Je ne fais qu’en nommer quelques uns car la liste serait longue.

Je sais pertinemment bien que nous avons tous une certaine créativité en nous et qu’il ne suffit que de la développer. Ce que je me demande c’est comment l’on peut retrouver notre créativité enfouies sous des peurs, sous de la négativité, comment faire en sorte que nos enfants développent la leur. Je crois bien que comme bien des choses, il faut prêcher par l’exemple.

Si je fais la liste que ce que j’aimais faire quand j’étais plus jeune, j’aimais :

- Écrire
- Faire des décalques
- Dessiner le plan de ma chambre à l’échelle
- La musique
- Faire de la couture et du tricot
- Cuisiner
- Le volley-ball

J’ai même essayer la danse et le patin artistique, mais pour ces deux la je sais très bien ce qui c’est passé. La fameuse peur du ridicule (je vous reviendrai avec cette histoire une autre fois).

Je pars maintenant à la recherche de comment je pourrai exploiter cette créativité qui est cachée sous les décombres de ma vie.

dimanche 20 juin 2010

À la recherche de ... la vie "normale"

Mes fils sont partis avec leur père car aujourd’hui c’est la fête des pères, c’est aussi ma dernière journée avant de reprendre la vie « normale »

Je reviendrai sur le « normale » mais avant, je me permets une petite folie. Je suis au faubourg Boisbriand assise près de la fontaine, je viens de manger un super shish taouk de chez Kebab (pour emporter). Je me permets de profiter du moment présent, de profiter du soleil de la fontaine, du vent pour laisser courir mon imagination… Il y a de gros nuages, des blancs, des gris, derrière ceux-ci le ciel est bleu du plus pâle au plus foncé. Quand le soleil se pointe le nez, les goûtes d’eau de la fontaine ont un air de pluie de diamants. Quand le vent souffle, je me fais asperger d’une douce bruine rafraîchissante.

Mon imagination vagabonde, c’est comme si pour un instant je me retrouvais ailleurs, dans un autre pays, une autre ville, en vacances à découvrir le monde.

J’ai tellement de choses à dire que souvent je m’égare, je voudrais vous parler de mes croyances en des vies multiples, mais je vous reviendrai bientôt sur ce sujet.

Le vent me force à changer de place et en même temps de perspective, je ne me fais plus gentiment asperger mais carrément tremper ;-)

Alors si je reviens à mon sujet du début, le retour à la vie « normale », c’est quoi la vie dite « normale », c’est, pour la majorité des gens, avoir un travail 35-40 heures semaine, bien rémunéré. Est-ce vraiment normale… J’ai eu la chance de vivre la vie de travailleur autonome, vivre les avantages mais aussi les inconvénients soit le manque de liquidités.

Je vais avoir la chance de voir si le travail autonome me convient vraiment, voir sur quoi je veux mettre les efforts, comment je peux concilier travail et vie de famille, comment je peux m’épanouir et me développer dans tout ça.

Bon je ferme mon cahier pour profiter du moment présent, faire quelques courses et réécrire le tout sur internet pour votre bon plaisir.

Vivement les minis portables avec connexion wifi.

Vous aurez compris que ce message est en différé et que j’ai écris ces mots cette après midi. C’est pas facile de recréer le moment et surtout de ne pas changer les mots…

À la recherche de ... un peu d'histoire

Hier j’ai passé une partie de la journée chez ma grande sœur avec mes garçons et durant la conversation nous en sommes venu à parler de la dactylo, c’est alors que les points d’interrogations sont apparus dans les yeux de mes amours (à noter qu’ils ont 12 et 14 ans). C’est quoi ça ? Mon beau frère disparaît pendant quelques minutes et réapparaît avec une espèce de boîte en plastique, beige-jaune, je n’en revenais pas qu’ils avaient encore cette antiquité, et oui c’était une dactylo manuelle des années 70.

Quel bonheur de voir l’émerveillement de mes garçons envers ce qui m’avait toujours répugné et de les voir découvrir l’ancêtre de nos ordinateurs, c’était très drôle de les voir s’amuser avec ce qui, dans les années 70-80, était réservé aux femmes. Il était rare de voir des hommes utiliser ce genre de machine. C’était drôle de voir avec quelle facilité ils avaient été capables de taper quelques phrases….

Si je reviens sur le fait que cette machine me répugnait, et oui j’étais une de celle qui avait toujours détestée cette machine infernale, qui avait associée cette dernière à la secrétaire de l’époque qui était très stéréotypé (belle, mince, avec de longues jambes, bref une « poupoune »). Comme je n’avais pas le physique de l’emploi, j’avais banni cette discipline de mon champ d’apprentissage. Il faut dire qu’à l’époque être secrétaire c’était être une femme à tout faire, elle devait apporter le café à son patron, arroser ses plantes, faire la belle devant les clients, habituellement les patrons choisissaient eux-mêmes leur secrétaire et ne les choisissaient pas toujours pour leurs compétences professionnelles.

Heureusement aujourd’hui la place de la femme a pris une tout autre place, les secrétaires sont devenues des adjointes et sont des piliers dans toute bonne entreprise, certaines femmes sont même devenues des patrons. Heureusement les misogynes sont en voie de disparition et c’est parfait comme ça.

Je termine ce papier en vous disant qu’il ne faut pas dénigrer les technologies ou les emplois du moment, on ne sait jamais ce qu’ils peuvent devenir….

vendredi 11 juin 2010

À la recherche de ... l'homme de ma vie

Merci aux personnes qui m’ont encouragés quand j’étais « down », ce fut vraiment apprécié.


La vie est tellement belle quand on la remercie et quand on l’apprécie comme elle se doit. Bon c’est vrai, je n’ai pas d’amoureux par contre, j’ai deux beaux enfants, une famille et suffisamment d’amis pour me combler. Ce qui me comble le plus c’est que j’ai des passions qui font en sorte que je puisse me réaliser sans avoir d’homme dans ma vie.

Je ne veux pas dire qu’il n’y a pas de place dans ma vie pour un homme mais plutôt que j’attends l’homme de ma vie. J’attends de lui qu’il soit affectueux, attentionné, authentique, qu’il soit bien dans sa peau et avec de bonnes valeurs, qui soit sociable et aime les rencontres entre amis ou avec la famille et surtout, qu’il m’apprécie pour qui je suis.

Qui suis-je, ça c’est une excellente question; je suis une passionnée, j’aime la vie et comme l’homme que je recherche, je suis affectueuse et attentionnée et j’adore m’entourer de personne formidable. J’aime la musique et les partys mais j’aime aussi les discussion profonde, j’aimerais par-dessus tout apprivoiser les moments de silence à deux pour profiter du moment présent.

Je fais confiance à la vie et je sais qu’il est tout près cet homme que j’attends et avec ce billet, je lance le message à l’univers pour le guider vers moi.

Je vous remercie de me lire et j’espère qu’avec vos pensées, le message se rendra rapidement à destination.

A bientôt

jeudi 3 juin 2010

À la recherche de ... du futur

Comme tous le monde j‘aimerais pouvoir me projeter dans le temps pour voir quand le soleil reviendra dans ma vie. Ce serait bien de savoir combien de temps il nous reste à vivre une situation difficile. Mes expériences de vie ont faites en sorte que je sais très bien qu’il y a toujours une lumière au bout du tunnel, mais ce serait plaisant que l’univers puisse nous dire « Lâche pas ma grande, encore 2 – 3 jours, 2 – 3 semaines et tout entrera dans l’ordre ou prépare toi, t’en a au moins pour 5 – 6 mois, 1 ans alors prends ton mal en patience.


C’est la qu’entre en jeux la foi entre en ligne de compte, je ne parle pas ici de religion, mais de foi en une force suprême, de savoir qu’il y a toujours du soleil après la tempête, de savoir qu’il n’y a rien pour rien dans la vie, que chaque période difficile est la pour nous faire grandir, nous faire apprendre, nous faire cheminer, nous faire avancer.

C’est bon de le partager avec vous, de l’écrire noir sur blanc, de le concrétiser. Je ne sais pas trop où je vais, une chose est certaine c’est que je vais en avant, je suis de plus en plus près d’où je veux aller (même si je sais pas trop c’est où).

mercredi 2 juin 2010

A la recherche...de la beauté intérieur

Aujourd’hui j’ai encore envie de vous parler de la perception que les gens on de nous, ou plutôt la perception que l’on a des autres.

J’ai la chance depuis quelques mois de côtoyer des gens merveilleux, avec une profondeur d’âme et une générosité exceptionnelle. Pas que je n’avais pas rencontrer de personnes de la sorte avant mais depuis quelques mois les rencontres se multiplies à la vitesse de l’éclair autant du côté personnelle que professionnelle.

Pour en revenir à mon sujet, parmi ces personnes il y des femmes et des hommes vraiment belles et beaux physiquement (bien en fait, que JE trouve vraiment beaux et belles, car comme on sait tous, les goûts sont dans la nature) vous savez le genre de personnes qui ont tous pour être heureux et être bien dans leur peau. Je vous en décri un en particulier pour vous faire comprendre le genre de beauté. Donc voici; jeune, +/- 6’2’’, larges épaules, mâchoire carré, un magnifique regard noisette franc et sincère, pour finir, un sourire et une présence des plus charmants.

La première impression que j’ai eu en rencontrant cet homme, ça été simplement « Wow quel beauté inaccessible », mais plus je le côtoyais moins je le trouvais inaccessible (mais toujours aussi beau), il y a chez cet homme une vulnérabilité désarmante qui font en sorte qu’il n’est plus simplement beau physiquement, il a en plus une grandeur d’âme, il est conscient de ses limites et travail d’arrache-pied pour qu’elles deviennent des forces.

Ce que j’essai de transmettre comme message, c’est de ne pas se laissez berner par les apparences et par la beauté des gens, et que même si les gens semblent, à vos yeux, être au dessus de tous et qu’a première vu ils ont tous pour être heureux, ça ne veux vraiment pas dire qu’ils le sont, alors tendez leur votre main et qui sait peut-être qu’un peu de leur grande beauté physique détiendra sur votre beauté intérieur.